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L’ailier marocain, Amine Harit, se prépare à affronter la Tanzanie lors du prochain match de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) à San-Pédro (Côte d’Ivoire). Malgré sa blessure qui l’a privé de la Coupe du Monde 2022, Harit aborde cette rencontre sans rancune, mais avec une motivation décuplée, regrettant de ne pas avoir participé au parcours historique des Lions d’Atlas.
Ayant manqué les deux dernières éditions de la CAN en raison de blessures, Harit s’apprête à découvrir la compétition continentale. Conscient des défis physiques, climatiques et atmosphériques que présente le football africain, il se dit prêt à relever le défi au nom du Maroc. Harit ressent la pression positive d’apporter de la joie aux supporters marocains et d’améliorer les performances récentes du pays dans les compétitions africaines.
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❞C’est toujours la même fierté de remettre le maillot, de chanter l’hymne national, c’est des frissons, des émotions. Surtout après la Coupe du monde que j’ai ratée, c’est double dose d’émotion, double dose de plaisir. C’est quand on perd quelque chose qu’on se rend compte de son importance. – Amine Harit.
Cependant, Harit met en garde contre la complaisance, soulignant que le statut de demi-finaliste de la Coupe du Monde ne garantit pas le succès en Coupe d’Afrique. Il insiste sur l’importance de montrer une performance de qualité et de donner le maximum, tout en reconnaissant les imprévus inhérents au football.
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