Six projets d’entreprises sociales à vocation technologique, concernant les secteurs du BTP (Bâtiment et Travaux Publics), de l’agroalimentaire, des énergies renouvelables et relatives aux domaines des services et du digital ont été sélectionnés afin d’être développés en Chine et de tirer parti d’un appui d’investissement, rapporte L’Économiste. Les détails.
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C’est dans le cadre d’une rencontre d’échange et de Partenariat Maroc-Chine autour de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation mise sur pied par l’association GeeDee International Innovation Center en collaboration avec REVONEEDS Investments et avec le soutien de Dr. Nasser Bouchiba, entrepreneur et enseignant-chercheur à l’Université Sun Yat Sen en Chine, et du centre Bridges To The Future le 11 août dernier à Moulay Yacoub à Fès que la sélection susmentionnée à été mise en place. Il est à noter également que cette dernière s’est faite sur 9 projets.
❞Les projets participants ont été répartis en 9 projets, dont 8 dans l’étape de prototype et une neuvième start-up dans la phase d’accélération. Les secteurs concernés sont des secteurs rentables dans lesquels la Chine investit depuis cinq années, comme la technologie de la reconnaissance faciale et les applications liées à la transformation des services. – Nasser Bouchiba, membre fondateur de l'Association de Coopération Afrique-Chine pour le Développement (ACACD) à L'Économiste
Conformément, neuf équipes, composées chacune de jeunes entrepreneurs marocains, d’étudiants et de cadres d’entreprise ont eu recours aux pitchs dans le but de présenter leurs entreprises et de mettre en emphase les visions déployées et les perspectives manifestes de leurs projets innovants. Au final, six projets ont pu “se démarquer du lot”.
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Les entreprises porteuses des projets susdits bénéficieront de maintes formes de support dont la mise en contact avec des partenaires ou investisseurs chinois, des invitations pour étude en Chine, voire des jumelages avec des start-ups analogues basées en Chine ; hormis le montant d’investissement qui vacille entre 200.000 DH et 2 millions de DH, souligne L’Économiste.
Tout compte fait, le Maroc se voit être un vrai terreau fertile à l’égard des autres programmes à venir en étant non seulement dynamique au cœur de l’action entrepreneuriale de la région MENA, mais également un atout révéré vis-à-vis des partenaires économiques à l’international. Les entrepreneurs marocains devancent leurs semblables à l’échelle mondiale par le biais de leur multi-culturalité innée. Dans le même sens, le quotidien économique met en relief la maîtrise des langues de l’arabe, le français et l’anglais « qui rend les entrepreneurs marocains très concurrentiels sur le marché des start-ups et de l’innovation. »
Un potentiel marocain qui suscite tout l’intérêt et qui mérite un éloge appuyé.
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