Figure incontestée de la musique électronique depuis deux décennies, pionnier de la french touch, inventeur d’une deep house érudite, St Germain s’est toujours distingué par son art consommé d’un mariage subtil entre machines et instruments, racines et modernité. Une musique marquée par son amour du blues, du jazz et des musiques noires en général, scandée de boucles électro hypnotiques et de samples de voix harmonieuses. De retour en 2015 avec son 3ème album, St Germain nous amène dans un voyage métissé, en compagnie de musiciens africains et où kora, balafon et n’goni, instruments traditionnels du Mali, voisinent avec guitares électriques, pianos, saxophones et séquences électro. En concert, c’est la fête. Ludovic Navarre, derrière sa console, dirige ses musiciens tel un chef d’orchestre et laisse parler la musique dans un show frénétique, rempli de joie.
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En bref, St Germain, c’était :
1. D’abord un public assis
Qui attend que le show commence.
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2. Et ensuite un public qui se lève
De plus en plus.
3. Et puis finalement une scène qui se transforme en boiler room
Et qui chauffe !
4. Des musiciens complètement tarés
Et des solos de la mort qui tue.
5. Une chorégraphie loufoque
Que le public n’a pas tardé à reproduire.
6. Un St Germain blagueur
Qui se cache au moment où on veut le présenter.
7. Bref, St Germain, c’était un public en transe
Une scène qui se transforme en vraie Boiler Room. MERCI.
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