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Nous sommes dans la faculté polydisciplinaire à Khouribga. C’est une après-midi calme qui s’écoule jusqu’au moment où des cris provenant du premier étage alertent les étudiants de la fac. Ces derniers se hâtent d’aller voir ce qui se passe, curieux, et ils retrouvent l’une de leurs camarades baignant dans son propre sang et allongée par terre.
Ce n’est pas un film d’horreur qui se trame entre les murs de cette école, mais il s’agit d’un VIOL. Après que l’agresseur ait pris fuite, c’est à la jeune fille de raconter sa version des faits et de se confier à la police. Selon ses déclarations, l’agresseur l’aurait suivi jusqu’aux toilettes, là où il l’aurait brutalisée et violée sauvagement.
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Le secrétaire général de la faculté vient contredire les propos de l’étudiante en confiant qu’elle connaissait déjà son agresseur sur Facebook et qu’elle l’avait invité à la rencontrer à la faculté qui est facile d’accès vu l’absence de contrôle à l’entrée.
Le même secrétaire se justifie alors en soulignant l’absence de sécurité et l’incapacité de la faculté à recruter plus de deux agents de sécurité sur une superficie de 12 hectares.
Une enquête a été ouverte afin de comprendre et connaître les circonstances de ce crime.
Enquête à suivre ?
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