Alors que les Marocains s’interrogent sur l’avenir de Herve Renard avec la sélection nationale, les médias marocains, nord-africains et français y sont allés de leurs rumeurs sur son avenir. Entre une supposée offre japonaise et l’éventualité de quitter le Maroc pour l’Algérie, l’Egypte ou le Qatar, le silence d’Herve Renard a donné place à beaucoup de supputations. Il a décidé de réagir à toutes les rumeurs qui le concernent.
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Mise au point… pic.twitter.com/8pozcitw0a
— Hervé Renard (@Herve_Renard_HR) 17 juillet 2018
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Le ton d’Herve Renard est ferme, mais il n’en est pas clair pour autant. Il déplore, certes, les on-dit sur son avenir, mais n’infirme ni ne confirme aucun d’entre eux. Il regrette que l’on « sème le doute dans l’esprit des Marocains » au travers de rumeurs – infondées – mais prend bien soin de ne pas se prononcer clairement sur ses intentions.
Cependant, il écarte de façon claire et définitive les informations qui le renvoyaient en Egypte, ou en Algérie. Selon lui, et par respect pour le Maroc, il ne souhaite prendre la relève d’aucun sélectionneur africain après avoir été à la tête de notre Equipe nationale.
Rappelons que le président de la FRMF, M. Fouzi Lekjaa avait fixé au mois d’Août 2018 la date de reconduction ou non de Hervé Renard à la tête de l’équipe nationale. Si ce dernier a annoncé clairement sa volonté de continuer l’aventure avec son sélectionneur, c’est chez Hervé Renard que le doute subsiste encore.
Néanmoins, un départ du sélectionneur est difficilement envisageable au vu du nombre d’années de contrat qui lui restent avec le Maroc. Ne voulant pas tomber dans le piège dans lequel est tombée la fédération ivoirienne en ne le renouvelant pas assez tôt, Fouzi Lekjaa a tenu à exprimer toute sa confiance en Hervé Renard en lui offrant un contrat courant jusqu’en 2022.
La condition de signature de ce contrat était qu’il n’y ait aucune clause libératoire pour M. Renard. Ainsi, pour se libérer de ses engagements envers la FRMF, Herve Renard devra s’acquitter d’une somme avoisinnant les 3,5 millions d’euros.
Comme dirait Herve Renard lui même…

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