L’école privée, source des mythes les plus incroyables. Les élève ayant étudié dans une école privée savent que même plusieurs années après l’obtention du Bac, les histoires circulent encore, et il doivent à chaque fois se justifier comme s’ils avaient commis un délit.
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1. La rentrée des classes, toujours avant tout le monde.
Quand les autres enfants profitent encore du soleil, des grasses matinées et de la farniente, les pauvres élèves de l’école privée doivent porter leurs gros cartables et oublier les vacances.
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2. Les surnoms communs à tous les élèves.
Bien avant Kilimini, il était commun de les traiter d’enfants gâtés, de wlidat Danone, wlad Mama et Baba…
3. Les heures creuses, ce rêve d’enfant.
8h à midi, 14h à 18h, l’emploi du temps est tout simple à retenir, puisqu’il ne comporte pas de temps libre. Même quand un prof est absent, on trouve un remplaçant pour ne jamais laisser les élèves se reposer.
4. Appartenir à une école est équivalant à appartenir à une patrie.
Malgré toute la haine qu’on porte pour l’école, la défendre est un devoir. Et si l’institution a un quelconque emblème ou symbole, il est nécessaire de le connaître par cœur.
5. L’argument ultime: c’est l’argent de mes parents qui sauve cette école.
Tant que les parents payent des sommes faramineuses chaque mois, tout est pardonné.
6. L’argent des parents est également une méthode des profs pour tout remettre en ordre.
Au moindre faux pas, ils vous rappellent que vous jetez l’argent de vos parents par les fenêtres et que vous devriez avoir honte.
7. Une chose que les parents ne manquent pas de nous rappeler à chaque fois.
8. Le nom de l’école est partout.
Sur les maillots de sports, sur les tabliers… Ne manquerait plus que le tatouer sur le corps.
9. La rencontre Parents-Professeurs, la fureur.
Les profs attendent l’occasion en or pour tout dire aux parents, qui, à leur tour, cherchent une excuse pour interdire la play et les sorties entre copains.
10. Les fêtes de fin de cours.
Chaque début de vacances est une occasion d’organiser une petite fête en classe, et surtout pour convaincre le prof de ne pas faire le cours. Ce qui est bien, c’est que tout le monde contribue, ou presque. Il y a toujours un goinfre qui se croit intelligent, mais qu’on pardonne malgré tout. La magie des vacances.
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