Stéphane Guillon, déjà connu pour ses discours « flamboyants » contre DSK, Sarkozy ou encore Nadine Morano a encore frappé. En effet, ceux d’entre vous qui ont eu la chance de voir Le Petit Journal de Yann Barthès, vendredi dernier, ont dû apprécier l’intervention de l’humoriste qui appelait à « voter pour Nicolas Sarkozy ». La campagne s’étant terminée vendredi à minuit, la vidéo sera de nouveau accessible dès le début de la campagne pour le second tour des présidentielles.
Publicité
Entretemps, WLB vous propose de lire une partie de ce qui a été dit par Stéphane Guillon pour vous faire patienter jusqu’à ce que le lien de la vidéo ci-dessous soit à nouveau fonctionnel.
Publicité
L’humoriste nous fait là un discours bien sarcastique et fort semblable à ceux auxquels il nous a habitués, et qui lui ont permis, entre autres, de se faire remercier par France Inter. Extraits :
« La France a besoin d’un Président qui aime la culture, la fidélité, l’humanisme, l’élégance et la retenue »
« La France a besoin d’un homme proche du peuple qui a toujours aidé les plus démunis, qui a permis à Bernard Tapie de revivre et de s’acheter un petit bateau. Un Président proche des personnes âgées, capable de rendre visite à une vieille dame pour l’aider : ‘Laissez ces enveloppes Liliane, je m’en occupe’ »
« La France a besoin d’un Président en forme, capable de dépenser 180 millions d’euros dans un nouvel avion avec jacuzzi et four à pizzas pour arriver reposé à l’étranger »
« La France a besoin d’un Président défenseur des droits de l’homme qui a forcé Kadhafi à dormir dehors, sous la tente, en plein hiver. Y avait des putes et du champagne, mais c’était quand même une tente ! Mes chers compatriotes, Nicolas Sarkozy nous a sauvé de la faillite, sans lui la France serait la Grèce, on mangerait de la feta, on écouterait du Demis Roussos et Nikos Aliagas serait Premier Ministre »
« Alors dimanche, faites comme Véronique Genest, icone des charcuteries Madrange : votez pour Nicolas Sarkozy, le seul Président qui ne prend pas ses électeurs pour des jambons »
« J’ai rattrapé 5 ans de méchanceté, je me suis racheté. C’était crédible. Ca sortait du coeur ».
Publicité
Publicité