Ah le mémoire! Ce pénible travail d’analyse et de recherche personnel qu’on est tous amené, au mois une fois dans sa vie, à soutenir pour l’octroi du diplôme universitaire. Une épreuve indispensable qui nous oblige à se cloîtrer chez nous plusieurs semaines, se demandant si le choix du sujet est bien fondé.
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En plus du syndrome de la « page blanche », l’étudiant est constamment en ébullition émotionnelle. Entre tristesse, colère et manque d’assurance, de documentation surtout. Le répit pour lui, serait de se débarrasser une fois pour toute de ce PFE.
Le travail de mémoire qui sanctionne la fin des études universitaires n’est pas sans obstacles. En voici un avant goût.
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1. Trouver le sujet
Evidemment, il faut trouver un sujet de mémoire. Une tâche qui peut vous demander énormément de temps. Une fois trouvé, voilà que les ennuis commencent…
2. L’excitation
Vous êtes inspiré, vous avez votre sujet donc pas de temps à perdre. Vous attaquez le plan puis vous passez direct à l’intro. Un bon début, jusqu’à ce que…
3. La perception de la difficulté
Vous n’avez écrit que l’intro et vous êtes déjà à court d’idées.
4. La remise en question
D’un instant à l’autre vous remettez en question le choix de votre sujet. « Peut-être qu’avec un autre sujet je serais plus productif? »
5. Le laisser-aller
Relâchement total. Vous vous trouvez des excuses pour ne pas vous mettre au travail. « Demain après une bonne nuit de sommeil, je serai en meilleur condition pour travailler. »
6. La motivation
Vous vous décidez de vous ressaisir. Vous savez pertinemment qu’à ce rythme vous n’avancerez jamais. Vous vous mettez au travail, personne ne peut vous arrêter.
7. Le moment « détente » tant attendu
Hallelujah ! Vous avez enfin pu vous débarrasser de cette besogne. Vous êtes grandement décidé de rattraper chaque seconde perdue.
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