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Les autorités marocaines et algériennes ont convenu d’une ouverture temporaire du poste frontière Zouj Bghal à la périphérie d’Oujda, pour procéder à l’extradition de onze citoyens algériens ainsi que d’une autre personne de nationalité européenne, du Maroc en Algérie.
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Les douze personnes extradées font l’objet de mandats d’arrêts internationaux. Elles étaient en détention dans les prisons marocaines avant d’être remises aux autorités algériennes grâce à l’ouverture ponctuelle de la maroco-algérienne de Zouj Beghal.
La Cour de cassation du Maroc a accepté la demande d’extradition des mis en cause (onze Algériens et une personne de nationalité européenne) déposée par la justice algérienne, démontrant la bonne foi des autorités marocaines à « respecter les accords internationaux de lutte contre la criminalité transnationale organisée », et « à poursuivre les procédures d’extradition dans le cadre de relations de sécurité et de coopération judiciaire avec l’Algérie », en dépit de « la rupture unilatérale » des relations diplomatiques par cette dernière.
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