Le talent du grand et unique Shakespeare n’est peut-être pas né du hasard, mais boosté par une possible consommation de marijuana. C’est du moins ce qu’a révélé le South African Journal of Science.
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Selon le journal, une étude a été faite à Stratford-upon-Avon, Royaume-Uni, lieu de naissance et de décès du célèbre dramaturge, afin de découvrir les types de substances fumées à son époque. Résultat : on a retrouvé plusieurs pipes à tabac dans l’ancienne demeure de Shakespeare qui contenaient, vous l’auriez deviné, du cannabis.
En 2011 déjà, un autre chercheur avait trouvé des traces d’une matière, ressemblant au cocaïne dans la maison du poète, mais les autorités avaient refusé l’exhumation de son corps, suite à une inscription sur la tombe de Shakespeare : «Béni soit l’homme qui épargne ces pierres/et maudit soit celui qui déplace mes os».
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A-t-on trouvé la recette secrète pour un talent incomparable? (Question innocente)
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