Selon la Wilaya de Casablanca, l’activité d’Uber Casablanca n’est ni légale, ni autorisée. En effet, il paraît que la société internationale n’a demandé aucune licence, et exercerait sans aucun accord des autorités.
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Alors qu’Uber planifie déjà de s’installer dans d’autres villes marocaines, vu sa réputation mondiale et son succès au sein de Casablanca, la déclaration de la Wilaya de Casablanca était inattendue. Cette décision d’arrêter l’activité d’Uber au Maroc induit des risques pour la société, évidemment, mais également pour le personnel. Les autorités casablancaises comptent soumettre des sanctions aux employés et chauffeurs de la société, puisque leur emploi s’oppose à plusieurs lois imposées par la législation marocaine.
Affaire à suivre …
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