6 bonnes raisons d’aller voir The Batman en salles

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Le 9ème volet du super héros chauve souris Batman est en salles depuis aujourd’hui. Voici 6 bonnes raisons de courir voir la version de Matt Reeves. 

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1.Robert Pattinson est Bruce Wayne

Pattinson a été sensible à la profonde dualité du rôle, encore plus manifeste dans cette adaptation. « Je n’avais pas spécialement envie de tourner un film de super-héros », confie-t-il. « Ce n’était pas dans mes projets, mais Batman s’était toujours démarqué des autres personnages. Dans la mythologie des super-héros, c’est un personnage individuel qui a une importance symbolique. Et quand j’ai appris que Matt était aux commandes du projet, j’ai été très enthousiaste. Lorsque j’ai fini par discuter avec lui, il m’a montré quelques-uns de ses premiers story-boards et j’ai compris que la tonalité du film était vraiment singulière – son approche du mythe m’a franchement emballé. Quant à la caractérisation du personnage, elle se distinguait, elle aussi, d’incarnations précédentes. C’est un être seul, isolé, qui sent qu’il est voué à accomplir une mission. Il dégage même une forme de désespoir et de détresse que je trouvais très intéressante ».

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2.Batman, justicier encore plus sombre


Après avoir sillonné les rues de la ville sous l’identité de Batman et instillé la peur chez les criminels, Bruce Wayne a exploré les quartiers les plus malfamés de Gotham City. Conscient qu’il ne peut plus compter que sur quelques rares alliés de confiance – Alfred Pennyworth (Andy Serkis), le lieutenant James Gordon (Jeffrey Wright) – parmi les notables corrompus de la ville, le justicier solitaire s’est imposé comme le seul citoyen capable d’obtenir vengeance. Lorsqu’un tueur s’en prend aux élites de Gotham City en mettant au point des crimes sadiques, un faisceau d’indices mystérieux plonge notre enquêteur masqué dans les bas-fonds où il croise la route de Selina Kyle, alias Catwoman, (Zoë Kravitz), Oswald Cobblepot, alias le Pingouin (Colin Farrell), Carmine Falcone (John Turturro), et Edward Nashton, alias The Riddler, (Paul Dano). Tandis qu’il commence à acquérir la certitude que le criminel se trouve sans doute à Gotham City et qu’il voit désormais clair dans son jeu, Batman doit nouer de nouvelles alliances, démasquer le coupable et rétablir la justice dans une ville depuis trop longtemps en proie aux abus de pouvoir et à la corruption.

3.Un casting de rêve

Outre Robert Pattinson (TENET, THE LIGHTHOUSE), le casting réunit Zoë Kravitz (Big Little Lies, LES ANIMAUX FANTASTIQUES : LES CRIMES DE GRINDELWALD), Paul Dano (Love & Mercy, 12 YEARS A SLAVE), Jeffrey Wright (MOURIR PEUT ATTENDRE, Westworld), John Turturro (la saga TRANSFORMERS, The Plot Against America), Peter Sarsgaard (LES SEPT MERCENAIRES, Interrogation) dans le rôle du procureur général de Gotham City Gil
Colson, Jayme Lawson (FAREWELL AMOR) dans celui de la candidate aux municipales Bella Reál, Andy Serkis (la saga LA PLANÈTE DES SINGES, BLACK PANTHER) dans celui d’Alfred et Colin Farrell (THE GENTLEMEN, LES ANIMAUX FANTASTIQUES).

4.Matt Reeves signe une réalisation élégante


Matt Reeves (la saga LA PLANÈTE DE SINGES) a réalisé le film sur un scénario qu’il a coécrit avec Peter Craig, d’après les personnages de DC Comics imaginés par Bob Kane et Bill Finger. Dylan Clark (la saga LA PLANÈTE DES SINGES) et Reeves sont producteurs du film, tandis que Michael E. Uslan, Walter Hamada, Chantal Nong Vo et Simon Emanuel en assurent la production exécutive. Le réalisateur s’est entouré du directeur de la photo nommé à l’Oscar Greig Fraser (LION, DUNE), du chef-décorateur James Chinlund avec qui il a déjà collaboré sur LA PLANÈTE DES SINGES, des chefs-monteurs William Hoy (la saga LA PLANÈTE DES SINGES) et Tyler Nelson (REMEMORY), de la chef-costumière oscarisée Jacqueline Durran (1917, LES FILLES DU DOCTEUR MARCH, ANNA KARENINE) et du compositeur Michael Giacchino (SPIDER-MAN : FAR FROM HOME, JURASSIC WORLD, la saga STAR WARS, LÀ HAUT).

 

5.Un film d’action comme on les aime

Le film est à la fois un spectaculaire film d’action mené tambour battant et une exploration sombre et sans concession d’un esprit torturé, se déroulant dans une ville légendaire au bord de l’explosion. Dans le Gotham City de Reeves, la peur est un instrument et, lorsqu’elle est maniée avec habileté, elle suffit le plus souvent à dissuader les voyous d’agir ou à pousser les plus craintifs à réagir. Entre les mains d’un brillant enquêteur, qui est enclin à se venger et qui n’a pas grand-chose à perdre, un simple masque peut se révéler terrifiant.

6.Une histoire à part entière

Lorsqu’il s’est engagé dans le projet, Reeves était enchanté à l’idée de s’emparer d’un personnage légendaire, héros de BD et de romans graphiques depuis plus de 80 ans, et d’évoquer ses tout débuts. « Au départ, Batman était enquêteur », indique le réalisateur, « si bien que revenir à cette période de son parcours, en faisant abstraction de sa dimension de super-héros – sans pour autant renoncer à ses ambitions – était une perspective exaltante. Quand je m’attelle à un film de genre, le plus important pour moi, c’est de proposer un point de vue personnel sur les personnages et la mythologie de Batman s’y prête très bien. On voulait que le superpouvoir de notre protagoniste soit sa capacité à tout encaisser pour remplir sa mission, quoi qu’il lui en coûte ». Coécrit par Reeves et Peter Craig, le scénario retrace une histoire à part entière, sans lien avec d’autres intrigues du Multivers DC : dans le film, Bruce Wayne n’est Batman que depuis à peine plus d’un an. « Il ne s’agit pas d’un récit qui s’attache aux origines du personnage, mais qui met en scène un Batman tout jeune et qui raconte comment il s’efforce de progresser », ajoute Reeves. « Du coup, notre personnage doit élucider une affaire qui touche à ses racines et qui l’ébranle au plus profond de son être ».

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