Qui a fait quoi, quand, où et comment ? Welovebuzz répond à toutes tes questions.
Publicité
Merdas, le mal aimé
Connaissez-vous cet homme ?
Publicité
Mais oui, vous avez certainement aperçu sa tête dans les journaux ou en « une » sur les articles de presse. Eh bien ce monsieur, pour faire court, c’est un parlementaire de la circonscription Ben Ahmed-Settat. C’est aussi un papa de deux enfants et le mari comblé d’une femme devenue veuve aujourd’hui.
Menant sa vie normale de député et d’activiste militant, Abdellatif Merdas est retrouvé, le 7 Mars, corps inanimé, à l’intérieur de sa voiture de fonction, près de son domicile dans le quartier de California à Casablanca. Tollé général et spéculations à flot. Du règlement de compte à l’acte terroriste en passant par un crime à caractère politique, nous sommes servis et la table est bien garnie.
La veuve noire
Attention, ce n’est pas fini. L’affaire prend des dimensions inimaginables lorsque cette femme…
… veuve de Merdas, est interpellée par la police comme le veut la procédure. La simple interpellation tourne au vinaigre lorsque la veuve laisse apparaître son stresse qu’elle avait visiblement du mal à contrôler. La police la détient et prolonge sa garde à vue. Les soupçons se confirment lorsqu’une conversation téléphonique entre la veuve et le tueur fait surface. Et c’est là le début d’une enquête fructueuse…
Les amants diaboliques
En effet, après un mois d’investigations, le tueur présumé s’est avéré être un élu local du RNI dans l’arrondissement de Sbata. Il aurait, selon certains médias électroniques, agi sous la directive de l’épouse du défunt, son amante, en échange de mariage et d’héritage.
Dimanche dernier, une reconstitution de la scène du crime a eu lieu sous la demande du procureur général. Celui-ci est catégorique, les principaux mobiles sont : le sexe, l’argent et le désir de vengeance.
À l’heure actuelle une autre personne est toujours recherchée. Un mandat d’arrêt international a été émis contre elle par le Maroc. Pour ce qui est des amants diaboliques, ils se trouvent à la maison d’arrêt Oukacha.
Publicité
Publicité