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L’affaire est au coeur de l’actualité. 11 ans après avoir commis un meurtre, l’expertise génétique effectuée par la section biologie du Laboratoire de la police scientifique sur des échantillons ADN, a révélé qu’il était le principal impliqué dans l’affaire d’homicide, pendant qu’il était détenu dans une affaire de vol qualifié…

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Vous l’avez bien lu ! L’histoire remonte au 17 janvier 2009, quand les services de la préfecture de police de Marrakech avaient découvert un corps sans vie, carbonisé.

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Un communiqué de la Direction générale de la sécurité nationale a déclaré que les services de la préfecture de police de Marrakech avaient examiné le corps du défunt (79 ans) qui avait subi de graves blessures. Par la suite, les éléments de la police avaient conservé les empreintes génétiques sur les lieux du crime dans la base de données criminelles en attendant d’être soumises aux comparaisons et correspondances possibles.

11 ans plus tard, suite aux analyses génétiques et les expériences réalisées, l’ADN a confirmé la correspondance de celle de l’individu arrêté à Benguerir pour vol avec celles qui ont été prélevées sur la scène du crime à Marrakech en 2009.

Outre l’expertise génétique, les enquêtes de la police judiciaire, les aveux du suspect et la reconstitution du crime ont confirmé le résultat.

Le mis en cause aurait d’abord grièvement blessé sa victime (79 ans), avant de mettre le feu à son domicile, indique la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué.

Selon la même source, il a été soumis à une enquête judiciaire sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer les circonstances entourant ce crime commis il y a plus de 11 ans, et d’élucider ses tenants et aboutissants