Soupçonnées d’être impliquées dans l’aménagement d’une maison close, trois femmes, dont la locataire de l’appartement, ont été interpellées par les éléments de la police de Hay Hassani, dimanche dernier.
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Dans un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), les services de la sûreté nationale avaient intercepté une publication sur internet affirmant qu’un local de massage proposait des services suspects aux clients.
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En effet, cette constatation a nécessité des recherches qui ont révélé qu’il s’agissait d’un appartement, et non pas d’un local public, qui accueille des personnes pour des pratiques de débauche, ajoute le communiqué.
Néanmoins, « les procédures de recherches réalisées sous ordre du parquet compétent ont permis d’interpeller la locataire qui a publié l’annonce, ainsi que deux jeunes filles suspectées d’avoir commis ces actes criminels. »
Les mises en cause ont été placées en garde à vue dans le cadre d’une enquête judiciaire pour implication présumée dans « l’aménagement d’une maison close, la débauche, la facilitation de la prostitution et l’incitation à la violation de l’état d’urgence sanitaire ».
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