Après les « Panama papers », une nouvelle affaire politique va faire parler d’elle ! Pandora Papers, c’est une enquête qui révèle que des hommes influents ont des sociétés offshore dans les paradis fiscaux de Dubai à Singapour en passant par Panama et les Seychelles. Pourquoi ? Pour éviter le fisc bien sûr. Travailler moins pour gagner plus ? Voici les Pandora Papers en 3 points.
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1.Politique et argent …
C’est encore la même histoire. Du pouvoir , de l’argent et une volonté de pas payer d’impôts. Pas bien ! L’enquête des médias de l’ICIJ révèle que plusieurs chefs de gouvernement ont placé des avoirs dans des sociétés offshore notamment pour échapper à l’impôt dans leur propre pays. Parmi les personnalités incriminées : le Premier ministre tchèque, le roi de Jordanie ou encore l’ancien Premier ministre britannique, Tony Blair. Aie !
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2.Ca nous rappelle les Panama Papers…
Et bien c’est à peu près cela. La même enquête en 2016 a révélé 11,5 millions de documents confidentiels issus du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca, détaillant des informations sur plus de 214 000 sociétés offshore ainsi que les noms des actionnaires de ces sociétés.
3.Scandale politique
Plus de 600 journalistes, s’appuie sur quelque 11,9 millions de documents, qui proviennent de 14 sociétés de services financiers, et a mis au jour plus de 29 000 sociétés offshores. Une enquête sérieuse qui met dans l’embarras de nombreux chefs d’Etat et de Ministres. « C’est une aventure gigantesque. C’est la première fois que l’ICIJ réunit 600 journalistes dans 117 pays », a affirmé l’antenne de France 24, Jacques Monnin, chef de la cellule investigation de Radio France. « Nous avons eu un accès inédit à ce que représente l’évasion, la fraude ou l’optimisation fiscale dans le monde ».
Oops. Affaire à suivre. Ou pas.
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