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Le nouveau Netflix à la marocaine débarque ! Lancé il y a quelques jours, les Marocains ont une plateforme qui leur permet d’avoir accès aux films marocains et internationaux d’hier et d’aujourd’hui. Une magnifique initiative lorsque l’on sait que le cinéma national souffre de visibilité. 5 bonnes raisons de courir vous abonner…
1.Un large éventail de films
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Outil de découverte du 7ème art dans toute sa diversité, la nouvelle plateforme de streaming du cinéma marocain “AFLAMIN” apporte une large offre de films indépendants du Maroc, mais aussi de tous les continents, pour la plupart primés dans les plus grands festivals internationaux.
2.L’abonnement est à 45dhs /mois seulement
Créée cette année, par la start-up Good Fellows, à l’initiative du réalisateur Nabil Ayouch et de Ali n’ Productions, la plateforme du cinéma marocain AFLAMIN répond à un besoin culturel essentiel. C’est pour cela que l’abonnement est accessible à tous. Un prix correct pour permettre à tous de profiter de ce large éventail de films. Il y a possibilité de s’abonner pour 3 mois à 120 Dhs, pour 6 mois à 230 Dhs.Tous les longs-métrages peuvent être loués à l’unité pour 48H, à 20 Dhs.
● Plus de 200 heures de contenu disponible dès à présent
● 3 à 5 films mis en avant tous les mois
● Plus de 40 réalisateurs nationaux et internationaux qui ont fait confiance à AFLAMIN
● 3 formules d’abonnement, sans engagement avec 5 jours gratuits :
3.Archiver les films marocains
L’idée d’AFLAMIN émane de la double nécessité de donner au grand public un accès légal aux productions nationales et de contribuer à la dynamique de l’industrie cinématographique marocaine en redistribuant les recettes générées équitablement aux ayant-droits. Tous les contenus présentés sur AFLAMIN ont été acquis auprès d’une quarantaine de producteurs et sont protégés par des systèmes anti-piratage aux normes internationales.
4.Reconnecter le public au cinéma du pays
« Les Marocains, et en particulier la jeunesse de notre pays, aiment leur cinéma. Et pourtant ils ont assez peu d’opportunité de voir ou de revoir les films récents ou du patrimoine. Notre ambition est non seulement de reconnecter le public marocain, à son cinéma mais aussi de valoriser le travail des cinéastes en proposant une nouvelle fenêtre de diffusion pour nos œuvres. » Nabil Ayouch, cinéaste marocain.La sélection proposée par la plateforme se base sur un seul credo : mettre en avant des films qui ont un intérêt évident pour le public marocain, qu’il soit artistique, intellectuel, divertissant, culturel, sociologique ou historique.
Le cinéma national étant sa vocation première, AFLAMIN se donne comme objectif de présenter la quasi-totalité du cinéma marocain d’ici deux ans. Les nouvelles acquisitions de films viendront ainsi incrémenter l’offre mois après mois et faire l’objet d’une éditorialisation dédiée, destinée à les mettre en avant.
Pour cela, AFLAMIN propose :
– Des fiches très complètes pour chaque film,
– Une mise en avant tous les mois de 3 à 5 titres, essentiellement marocains.
– Des cycles thématiques tout au long de l’année.
5. Créer une nouvelle audience de cinéphiles
A travers cet effort de programmation diversifiée, d’éditorialisation et de prescription, AFLAMIN se propose de contribuer à renforcer et à étendre la fibre cinéphile à travers le royaume, et ce en participant à l’éducation à l’image. AFLAMIN se fixe également pour mission de développer la curiosité pour cet art majeur qu’est le cinéma, en aiguisant le regard du grand public sur les films, et plus généralement leur regard sur le monde.
“ Autant national qu’international, le public est avide de culture et de cinéma « à la demande ». Les plateformes VOD internationales déjà présentes offrent peu de cinéma marocain. AFLAMIN se propose de creuser un nouveau canal autour de notre cinéma national mais aussi avec une offre de cinéma international indépendant. Notre idée est de bâtir une nouvelle audience de cinéphiles, la plus large possible, parmi nos concitoyens”, souligne Kenza Safouane, directrice générale de AFLAMIN.
“Il reste qu’à nos yeux la meilleure manière de présenter le cinéma marocain est de l’inscrire dans un cinéma international, pour montrer qu’il existe, qu’il a évolué, et évolue encore aujourd’hui en dialogue avec les autres cinémas du monde”, conclut Nabil Ayouch.
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