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Les scandales de politique et de médias ne cessent de surprendre ! Rachid M’barki, le journaliste qui a été licencié de BFM TV récemment, a nié tout lien avec le Maroc devant une commission d’enquête de l’Assemblée nationale en France.
Pour rappel, M’barki a été viré alors qu’il présentait le « Journal de la nuit » et travaillait pour BFM TV depuis des années sans jamais avoir eu de problèmes éthiques ou déontologiques. Mais il semblerait que tout cela soit le résultat de relations troubles entre Emmanuel Macron et l’Algérie, ainsi que d’une campagne contre le Maroc qui cherchait des boucs émissaires.
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Des scandales d’espionnage ont également été révélés, impliquant le Maroc, mais aussi d’autres clients européens, mais curieusement les médias ont choisi de se concentrer uniquement sur le Maroc. Et tout ça à cause du Sahara, évidemment ! Le scandale a commencé lorsque Rachid M’barki a utilisé l’expression « Sahara marocain » pour parler d’un événement économique qui se passait à Dakhla, dans le sud marocain.
Ces paroles ont été un élément déclencheur pour le journaliste. Il a été victime d’un lynchage médiatique sans précédent, mais il affirme qu’il n’a jamais touché un centime du Maroc pour dire quoi que ce soit. Il se considère comme un pur produit de la République et on ne parlait jamais de ses origines marocaines avant cette histoire.
Bref, cette histoire montre les dessous troubles de la politique et des médias en France. On espère que Rachid M’barki pourra se remettre de cette affaire et poursuivre sa carrière sans encombre.
🇲🇦🇫🇷| À l’assemblée nationale, Rachid M’Barki a démenti en bloc les accusations le visant depuis qu’il a parlé de Sahara marocain sur BFM TV
« Le Maroc ne m’a jamais donné un seul centime pour dire quoi que ce soit [..] J’ajouterai une dernière chose et pic.twitter.com/zqo6WGH5mD…
— Morocco Intelligence (@MoroccoIntel) March 22, 2023
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