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RedOne, le producteur qu’on ne présente plus, était à Casablanca pour présenter la chanson Come Alive pour la Fédération Royale Marocaine de Football. Nous avons assisté à la conférence de presse qui s’est tenue à cet occasion à Casablanca et nous eu par la suite l’occasion d’interviewer l’artiste.
« J’espère que le Maroc sera fier de ce projet », a-t-il annoncé, après nous avoir fait écouter la chanson en avant-première.
La chanson est en anglais et les paroles « reflètent la nature conviviale des marocains ». Il est prévu qu’il y ait une version arabe par la suite ; RedOne espère qu’elle connaîtra un succès national et « voyagera à travers le monde ».
Le producteur n’a pas dévoilé si cette chanson sera la chanson officielle de la Coupe Du Monde des Clubs mais elle accompagnera probablement le Mondialito.
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Bonjour, c’est Réda, et avec nous, RedOne !
Bonjour, c’est RedOne, et avec nous Réda (rires)
Nous voulons savoir, RedOne : quand tu es devenu célèbre internationalement, qu’est-ce qui t’a conduit à revenir au Maroc ?
La réponse est simple. D’où est-ce que je suis ? Du Maroc. Je suis une personne qui aime beaucoup son pays et qui en est fière. Si tu regardes toutes mes interviews : de Hollywood, des Etats-Unis ou du monde entier, tu verras que le Maroc est toujours dans mon esprit et que je suis fier du Maroc. Je vois ma célébrité comme une chance de représenter le Maroc au niveau mondial.
Pourquoi avoir signé avec Chawki ? Qu’est-ce qui a fait que tu as voulu travailler avec lui ?
Je connais Chawki depuis des années. Je sais combien il a persévéré, quelles sont les difficultés qu’il a affrontées dans sa vie. Je connais la force de son travail artistique, de son talent et de sa volonté. Je le connais depuis 15 ans et cela fait presque 10 ans qu’il essaie de me convaincre de travailler avec lui.
Il faisait partie d’un groupe appelé La Paloma. Ils ont chanté pour 2M il ya… 40 ans (rires). J’avais déjà travaillé avec lui du temps de La Paloma, bien avant le phénomène RedOne, et je connaissais bien le groupe. Priorité donc aux proches, mais j’aime beaucoup aussi les artistes marocains en général, avec lesquels, inchallah, je travaillerai. Pour ne pas brûler les étapes, je veillerai d’abord au succès du projet Chawki, qui représente aussi le Maroc à l’étranger. Il faut aider et encourager tout marocain qui fait honneur au Maroc et, inchallah, d’autres marocains viendront après lui.
Imaginons que je veuille devenir musicien. Qu’est-ce qu’il me faut pour réussir dans ce métier ?
(Sourire). Eh bien, il faut du talent, c’est la première chose. Mais le talent seul n’amène à rien. Comme j’ai dit pour Chawki, il a du talent mais aussi de la volonté et de la persévérance. Il faut travailler et persévérer. Rien n’est facile dans la vie, dans n’importe quel business, pas seulement dans la musique. Que ce soit dans le football ou même dans la finance, il faut donner son maximum. Il faut donc du talent et du travail.
Merci RedOne
Merci, lah i barek fik.
Nous ne sommes pas repartis les mains vides, nous avons eu droit à un exemplaire du single !
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