Non, ceci n’est point un titre aguicheur, ni même un bêtisier. Vous l’avez bien vu, il s’agirait bel et bien de la découverte de signes précurseurs prouvant l’existence d’une vie au-delà du Cosmos au Maroc, et ce depuis un bon bout de temps déjà.
Publicité
Éclairage.
Publicité
C’est en 1998 qu’un périple d’incertitude voit le jour au Maroc, avec la tombée d’une météorite qui renferme dans ses entrailles tous les ingrédients vitaux pour faire naître la vie et s’en suit alors théories et doctrines vacillant des plus plausibles au plus irréalistes.
Mais l’histoire ne s’est pas pour autant facilement bornée, d’autant plus après la déferlance des analyses scientifiques contemporaines et des nouvelles technologies de recherche qui ont visé des bilans intéressants, voire inouïs, publiés dans la revue Science Advances.
En effet, la météorite tombée au Maroc serait la jumelle d’une autre tombée la même année au Texas aux États-Unis. Ces dernières conservées depuis 1998 au Centre spatial Johnson de la NASA au Texas, contiendraient toutes les deux de l’eau liquide et des composés organiques dont la vie en est dépendante.
Ces composés organiques seraient en fait des acides aminés nécessaires à la formation de l’oxygène, de l’azote, des protéines ainsi que du carbone.
Cette découverte, qui n’est certainement pas tranchante et donc incapable de mettre fin au débat des siècles passés et de ceux à venir, reste pour le peu une preuve cruciale qui met l’emphase sur la possibilité de l’existence d’une vie extraterrestre, et qui qualifie donc la présence de la vie ailleurs que sur Terre de plausible.
Alors, réalité perspicace ou théorie sans réel fondement ? Telle est la question qui tourmente les passionnés d’astronomie et de cosmologie d’emblée.
Publicité
Publicité