Ils sillonnent les villes marocaines pour offrir des cours gratuits aux élèves en difficulté

Par le 13 décembre 2018 à 14:53

Il suffit d’un rien pour faire le bonheur des autres, et des jeunes étudiants l’ont bien compris. Afin de venir en aide aux élèves en difficulté, des jeunes marocains sillonnent les villes marocaines leur offrant des cours gratuits. Une vraie preuve de bonté !

Publicité

Share It, l’association qui accompagne les étudiants marocains

Afin d’accompagner les étudiants marocains des établissements publics, qu’ils soient en primaire, collège ou lycée, des jeunes étudiants universitaires faisant partie de l’association Share It, donnent des cours de soutien gratuits dans différentes matières (Français, Mathématiques, Physique…). Une occasion d’aider les élèves en difficultés, n’ayant pas de moyens pour financer des cours de soutien.

Plusieurs actions entreprises

Les cours de soutien ne sont pas l’unique action de ces jeunes bénévoles. Des cours universitaires ainsi que des tournées coaching orientation ont même été organisés dans quelques établissements. Sans oublier que des séances d’entrainement ainsi que des tournois de foot font également partie des actions de ces bienfaiteurs. 

Publicité

Magnifique initiative ! 

Journaliste et animatrice. Mon métier est ma passion... Âme rêveuse et joyeuse, mon bonheur ? Les animaux.

Publicité

Publicité

Publicité

Les indémodables

10 signes qui montrent que c'est bientôt la fin du semestre

10 festivals qui nous ont beaucoup manqué en 2020 au Maroc

10 choses à savoir absolument sur les personnes Gémeaux

17 preuves que les brunes sont absolument les meilleures

7 moments où nous détestons Facebook

Photos : Laila Aziz, cette marocaine qui habille Jennifer Lopez, Vanessa Hudgens, Selena Gomez et Zendaya

Tu sais que tu es un 'zmagri' quand...

Diabétique depuis l'âge de 10 ans, cette influenceuse et "Fitness Addict" a fait de sa maladie sa plus grande force

10 choses que tu as déjà faites dans ta voiture

La vie après le lycée : ce que tu imagines vs. la réalité