Jazzablanca 2019: Un dancefloor géant…

Par le 6 juillet 2019 à 14:11 - 61 réactions

La quatrième soirée de Jazzablanca a été contagieuse en bonnes énergies. Le mot d’ordre : ambiance chaleureuse et danses effrénées offertes sur un plateau par des ovnis de la musique, à commencer par le cyclone électro-pop Metronomy, en passant par les envoutants Hypnotic Brass Ensemble sans oublier les sonorités africaines de Navaro & NCY Music, Arnaud N’Gaza ou encore Guts & Les Akaras De Scovil.

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Voici TOUt ce que vous avez raté… 

Bonne humeur et rythmes endiablés ont ponctués ce début de weekend à Jazzablanca…

Tout a commencé par la révélation de cette journée, la formation marocaine Slvy & Raad composée de la jeune Slvy, chanteuse marocaine au joli timbre de voix et au flow intéressant qui a su proposer un répertoire authentique Rnb Pop porté par Raad, juxbox humain et multi instrumentaliste.

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Le duo a offert un concert qui n’est pas passer inaperçu au Village Samsung avant d’être suivi par un groupe coloré à la belle énergie venant tout droit du berceau de l’humanité : Navaro & NCY Music qui a proposé un Jazz Afro métissé depuis le Congo , le Maroc, la France , la Côte d’Ivoire et le Kenya. Un beau tableau musical que le public a su apprécier à sa juste valeur.

Les festivaliers ont profité ensuite du très attendu concert de Metronomy, groupe anglais Electro- Pop aux sons aussi alternatifs qu’uniques qui ont fait danser la scène d’Anfa.  Une énergie exceptionnelle, des sons recherchés, une musicalité et de belles nuances dans l’évolution des morceaux, Metronomy est un des groupes qui fait le plus danser et groover le monde.

La formation de Joseph Mount semble être composé d’ovnis des temps modernes. Des multi instrumentalistes qui ont embarqué l’ensemble de l’audience dans leur univers pour un concert phénoménal où le groupe a fait le bonheur de Jazzablanca avec des titres comme « The Bay», « A thing for me » ou encore « Love Letters ».

Un peu plus loin, sur la place des Nations Unis, un autre public profitait du même festival mais différemment. La scène BMCI a accueilli le talentueux bassiste camerounais Arnaud N’Gaza et son projet Afro Jazz tout en nuances avant de céder la place à Guts & Les Akaras De Scovil pour un concert Soul Afro Disco Jazz.

Deux concerts gratuits qui ont offert au public une énergie  hors du commun.

La fièvre de la danse a été le fil conducteur de toute la soirée avec une formation venue tout droit de Chicago aussi hypnotique qu’envoutante : Hypnotic Brass Ensemblepour un Jazz Hip Hop Funk entrainant. Une section mi cuivre mi rappeurs, sublimée d’une batterie, d’une basse et d’une guitare, qui sait groover comme personne et qui a mis le feu au JazzClub.

Pendant ce temps-là, à la scène « Le Roof », le Hollandais Khalil Ryahi a fait groover le dancefloor de ses sons électro-funky.

Journaliste et animatrice. Mon métier est ma passion... Âme rêveuse et joyeuse, mon bonheur ? Les animaux.

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