C’est l’information qui a secoué la toile… Une mineure aurait été torturée par son employeur à Casablanca, ce qui a poussé la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) à réagir et ouvrir une enquête.
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Selon les informations rapportées par la MAP, la presse a relayé des informations sur une affaire présumée de torture à l’encontre d’une jeune fille mineure.
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La même source qui cite un communiqué de la DGSN, qui a réagi avec « célérité et grand sérieux » à cet article, indique que le service préfectoral de la police judiciaire de Casablanca a été chargé d’ouvrir une enquête judiciaire sous la supervision du parquet.
Selon l’article ayant enflammé la toile, « un officier de la police judiciaire chargé de l’enquête n’aurait pas appliqué strictement la loi à l’encontre des personnes impliquées dans cet acte ignoble et criminel ». La DGSN veut, donc, « s’assurer des actes de torture subis par cette mineure, à travers l’audition de toutes les parties concernées et la réalisation de l’expertise médicale et technique nécessaires, afin de déterminer les responsabilités juridiques de toutes les personnes impliquées. »
Et ce n’est pas tout…
La MAP ajoute également que « le Directeur général de la sûreté nationale a également décidé de charger l’Inspection générale de la sûreté de mener une enquête administrative minutieuse pour déterminer tout manquement de la part de l’officier de police ayant supervisé les procédures préliminaires relatives à ce dossier, ainsi que les irrégularités qui lui ont été attribués et à l’ensemble des fonctionnaires concernés par cette affaire, et ce en vue de prendre les mesures disciplinaires nécessaires à la lumière des résultats de l’enquête. »
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