L’arbitrage du match Maroc-Portugal du Mercredi 20 juin dernier a été largement contesté par les Marocains qui estiment que des erreurs impardonnables ont été commises.
Publicité
Vous êtes certainement nombreux à avoir reçu des messages sur les réseaux sociaux vous invitant à signer des pétitions en ligne et vous avez sûrement remarqué sur votre fil d’actualité la colère de certains et leur volonté de faire changer les choses.
Si vous n’avez rien reçu de la sorte, voici un lien d’un exemple de pétition lancée et partagée très massivement par les Marocains sur les réseaux sociaux. Une petition non des moindres, puisque celle-ci vise les 50 000 signatures et le plus impressionnant dans tout cela, c’est que les signataires ne manquent pas !
Publicité
En quelques jours à peine, la pétition a rassemblé plus de 30 000 signatures, un chiffre qui en dit long sur le sentiment d’injustice de nombreux Marocains et sur leur motivation et leur volonté de se faire entendre.
Pourquoi cette pétition ?
Le créateur, Samy B. n’a pas hésité à exprimer ses sentiments qui semblent être partagés par des dizaines de milliers d’autres Marocains.
Mais ces pétitions innombrables sont-elles vraiment utiles ?
Entre ceux qui signent sans trop se poser de questions, ceux qui refusent de le faire parce que « ça ne sert à rien », ceux qui sont convaincus que cette pétition peut changer les choses et la partagent en masse et ceux qui regardent sans comprendre… le moins qu’on puisse dire, c’est que cette pétition ne fait pas l’unanimité.
En ce qui concerne Samy B. et les 30 755 signataires de sa pétition, ils espèrent bien que leur initiative provoquera une prise de conscience parmi les Marocains et que leur indignation se fera entendre par la FIFA, dans le but ultime de rejouer le match.
« Nous prions donc la FIFA de bien vouloir revérifier toutes les séquences du match et relever toutes les incohérences et par conséquent permettre que ce match entaché de scandales soit rejoué », déclare-t-il.
Un objectif non des moindres qui nous semble difficilement réalisable mais après tout « rien n’est impossible« .
Affaire à suivre…
Publicité
Publicité