L’affaire de harcèlement sexuel de la part d’un professeur de l’ENCG de Oujda continue à faire jaser. De nombreuses victimes témoignent. Des étudiantes de promo différentes se sont solidarisées pour arrêter l’emprise de cet homme sur elles. Le professeur en question souhaite porter plainte et affirme qu’il n’est pas sur les réseaux sociaux. Certaines captures d’écran prouvent le contraire et il aurait désactivé ses comptes hier. Un témoignage recueilli par la page insta « 7achak » qui fait un véritable travail d’investigation auprès des victimes qui se sentent en confiance avec l’initiatrice du mouvement. Un #MeTooUniv a été lancé par Moroccan Outlaws 490 #MeTooUniv : les étudiantes de l’ENCG Oujda balancent leur « prof »pour recueillir des témoignages.
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1.Le stage pour amadouer sa proie
Les étudiantes parlent de pression et de chantage. A part les notes et les validations de semestre, le professeur proposait des stages mais avec des demandes spécifiques derrière. Dans ce premier échange, on voit l’énervement du professeur et la réponse de l’étudiante qui parle de manque de respect à son égard et d’atteinte à sa dignité. La capture d’écran d’avant montre une certaine vulgarité , un appel manqué aussi.
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2.Victimisation
3. « J’ai envie de naklok » pour moi c’est rien ?
Dans le message, le professeur continue à se justifier et annonce que des propos très « limites » ne sont rien pour lui…
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