Petite introduction dans l’histoire du monde des animés et de la culture nipponne

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Au Japon les animés et les mangas font aujourd’hui partie du quotidien du peuple nippon, et ce de manière intergénérationnelle. Le monde de l’animation japonaise est répandu partout dans le monde, peu importe l’âge ou la culture du principale intéressé ces ouvrages semblent avoir été créé afin de toucher le plus grand nombre et visiblement cela fonctionne à merveille.

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À l’exemple de One Piece, Naruto, Bleach ou Dragon ball, ces animés ont fait d’un grand nombre d’entre nous des amateurs passionnés de culture nippone, dont le rêve reste de visiter un jour l’archipel du soleil levant. Le monde de l’animé contient bien des chefs d’œuvres, et un art cinématographique que l’on croit nouveau mais qui ne l’est pas.

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Au pays du soleil levant, être en phase avec la cadence à laquelle tourne le monde a toujours été un principe fondamental. Après la fin de la seconde guerre mondiale les japonais qui virent la divinité de leur empereur tombé, et grand nombre de leurs croyances remises en question se sont mis à essayer de se créer une nouvelle image, que ce soit à travers les arts modernes, la science ou même l’économie, le peuple nippon a su rebondir d’une défaite cuisante qui lui a fait perdre bien des choses. C’est dans cette démarche de renouveau que l’empire Japonais fit preuve de flexibilité en s’adonnant à la créativité d’un art nouveau.

Lors de la première production animée de James Stuart Blackton, Humorous Faces en 1906 les réalisateurs nippons s’intéressèrent alors au monde de l’animé, étant donné la popularité des mangas existant depuis 1817.

https://www.youtube.com/watch?v=QABF8vDLiM8&vl=fr

En 1980 l’animé devient limite une affaire d’état vu la popularité qu’il rencontre au sein de l’empire. Les investissements massifs dans des petites maisons d’édition et d’animation tel que la Toei Animation (encore active) ou Mushi Production (qui disparut onze ans après sa création (1962 – 1973) ) font rêver grands nombre de jeunes mangakas.

C’est après le succès éclatant et international de Dragon Ball Z et de Sailor Moon (Toei animation) ainsi que le succès énorme d’Astro Boy (Mushi Prod), que le gouvernement nippon créa un nouveau patrimoine national qui ne tarda pas à devenir un succès mondial.

Dans le cas de notre génération ce ne sera qu’en 1987 avec la création du Club Dorothée, en France sur TF1, la jeunesse qui fut alors une nouvelle cible dans le monde télévisuel vit pour la première fois une animation japonaise, c’est à ce moment que l’animation nippone explose.

Dragon Ball Z, Saint Seiya (les chevaliers du zodiaque), Ken le survivant, ou encore Nicky Larson (city hunter), deviennent des classiques incontournables qui ont contribué à la popularité des animés à travers le monde. Que ce soit de par leur sincérité, de leurs scénarios captivants, ou même de leur absurdité les animés sont fait pour plaire à tout le monde. Au point même qu’aujourd’hui un certain nombre d’entre nous préfère la richesse et les possibilités infinis qu’offre un anime bien écrit (Death Note) qu’une série hollywoodienne moins garnie.

En misant sur un nouveau media, celui de l’animation, le Japon aura touché au gros lot surtout quand on voit les chiffres astronomiques que rapportent en bénéfice des animés récents tel que Demon Slayer ou encore Shingeki No Kyojin (AOT).

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