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Il faut le dire, Ryad somme son ambassade à Alger d’exiger un certificat de bonne santé psychiatrique aux algériens désirant se rendre à la Mecque pour le pèlerinage.
Loin d’être un compliment, cette décision de l’autorité saoudienne confirme la réputation de l’Algérien à comportement impulsif. Cette décision peu élégante, fait référence à un assassinat à coup de couteau de deux pèlerins par l’un de leurs compatriotes, tous de nationalité algérienne. Pour l’Arabie saoudite, cette demande de certificat est considérée comme une mesure de sécurité pour prévenir qu’un tel incident ne se reproduise à l’avenir.
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Lorsqu’un État d’accueil demande à l’État émetteur une attestation de bonne santé mentale aux personnes se rendant à la Mecque, c’est que cette société souffre d’une pathologie mentale générale, à en croire les analystes.
L’Algérie est déjà indexée par la communauté mondiale de souffrir d’une pathologie mentale inquiétante et les dirigeants ne font pas exception. En effet, les dirigeants algériens présentent régulièrement une pathologie psychiatrique caractérisée par une névrose aux yeux du monde. Cet état mental collectif est considéré par Ryad comme une menace pour la sécurité et à l’ordre public.
Plus de deux millions de pèlerins se rendent en Arabie saoudite chaque année. Une telle concentration humaine peut justifier cette mesure, cependant elle n’est exigée que pour l’Algerie dont le tempérament comportemental est suspecté de dangereux.
Selon des médias locaux, les pèlerins algériens désirant accomplir les rites du Hajj ou de la Omra aux lieux saints de l’islam en Arabie saoudite, doivent désormais justifier d’une «bonne santé mentale», attestée par un certificat médical en bonne et due forme. C’est l’ambassade saoudienne à Alger qui a notifié cette exigence aux futurs candidats algériens au pèlerinage.
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