La Coupe du monde a été de courte durée pour l’équipe du Maroc. Il a fallu attendre 20 ans pour que notre équipe joue cette compétition et seulement 10 jours pour qu’elle en ressorte. Il y a beaucoup à dire sur les raisons de l’élimination et de l’échec sportif, mais s’il est un sujet avec lequel on ne doit pas badiner, c’est bien celui du sort du sélectionneur à la tête de l’équipe du Maroc. Herve Renard doit rester pour continuer l’aventure et on on vous explique pourquoi.
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La Coupe du monde est le plus haut niveau de compétition qui soit. Pour gagner, il faut en avoir l’expérience et le vécu. Intuitivement, on pourrait penser que le match perdu contre l’Iran est une honte et que le scénario est cruel. En réalité, c’est un apprentissage. En 2014, c’est l’équipe d’Iran qui perdait 1-0 à la toute dernière seconde lors de son premier match de Coupe du monde.
Après avoir quitté le mondial avec un seul point engrangé (comme nous cette année), ils ont préféré maintenir Carlos Queiroz comme sélectionneur de leur équipe. Quatre années plus tard, ce choix a été fructueux dans ce sens que l’Iran a pris sa revanche en battant le nouveau venu par le même scénario : 1-0 à la toute dernière seconde.
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Dans le football, tout peut s’acheter sauf l’expérience et le vécu. Aujourd’hui, la sélection allemande a subi un des plus grands fiascos de l’histoire de son football. Encore officiellement nation championne du monde, l’Allemagne vient d’être éliminée dès le premier tour de la compétition. Il est pressenti que Joackhim Low reste à la tête de cette équipe, la stabilité étant le mot d’ordre chez les Germaniques.
Depuis les débuts internationaux de l’équipe d’Allemagne en 1908 jusqu’à aujourd’hui, la Nationalmannschaft a connu dix sélectionneurs. Soit 10 en 110 ans. Parmi eux, seulement trois n’ont jamais été internationaux allemands durant leur carrière de joueur (Otto Nerz, Erich Ribbeck et Joachim Löw).
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