Avant même sa sortie, le célébrissime documentaire « sensible » sur le Roi Mohammed VI provoque la foudre et suscite le désarroi à travers les réseaux sociaux. Comme nous l’avons expliqué dans le précédent article, le journaliste et réalisateur Jean Louis Perèz et son cameraman ont été expulsés alors qu’ils étaient en plein tournage. Les autorités marocaines ont pris soin de leur confisquer matériels, cartes mémoires, passeports et voiture de location avant de les accompagner à l’aéroport. Manque de bol, les rushs ont tout de même pu être sauvés grâce à un système de protection. Perèz a bien fait son travail et est prêt à entamer le montage du documentaire qui traitera les points que voici:
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1. Un rebondissement sur l’affaire du chantage royal
En effet, Cathrine Graciet, l’une des journalistes impliqués dans l’affaire du chantage royale s’explique, pour la première fois, face caméra.
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2. Les réformes politiques de Mohammed VI
Toutefois, le documentaire évoque également l’économie évolutive du Maroc ainsi que les droits de la femme.
3. L’Islam modéré du royaume chérifien
4. Le témoignage de quelques personnalités marocaines
- Le secrétaire général de Transparency Maroc Fouad Abdelmoumni
- L’homme d’affaires Karim Tazi
- L’universitaire Najib Akesbi
- Le journaliste Ali Lmrabet
5. La plainte pour vol contre le Maroc
Perèz est déterminé à récupérer tous les biens ayant été confisqués sur le sol marocain. 15 000 euros, est la sommes du matériel saisi.
Le producteur insiste sur le fait que ce documentaire n’a nul intérêt à chercher le scoop. A un journaliste de Telquel il dit « Ce n’est pas une démarche d’investigation, ce n’est pas du tout le même exercice que Cash Investigation que nous produisons également par exemple ».
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