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Grande déception. Azzedine Ounahi n’en revient pas lui-même. Il fut moins que ce qu’on espérait avec l’Olympique de Marseille (OM.) Le club marseillais a même essayé de voiler la médiocrité de Ounahi, en avançant l’excuse du dépaysement du milieu de terrain des lions ou encore qu’Azzedine n’occupait pas le bon poste…
Qu’à cela ne tienne, Ounahi était méconnaissable et partant très mal noté par la presse spécialisée. Le journal français L’Équipe lui attribue 4 sur 10, c’est plus gentil que le quotidien régional marseillais, La Provence qui lui octroie un petit 3 sur 10.
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❞On ne l’attendait pas dans le onze de départ. L’international marocain, abonné jusqu’ici aux bouts de match, a eu droit à sa première titularisation sous ses nouvelles couleurs. Il n’a pas apporté grand-chose. Il a dézoné, parfois, pour essayer d’apporter le danger. Mais il a disparu au fil des minutes, éprouvant les pires difficultés à répondre au défi physique imposé par le TFC et à exister dans le jeu prôné par Tudor. – La Province - Journal français.
Les médias s’intéressant au football s’expriment sans ménager les mots : « Ounahi, le maillon faible de l’OM », « Azzedine Ounahi n’a pas donné grand chose » ou alors « Le marocain n’a été que l’ombre de lui-même. » Le vocabulaire tenu par cette presse a flingué le lion de l’Atlas pour lequel l’admiration était telle qu’on évoquait la révélation de Doha.
Une chose est sûre, Ounahi n’a pas du tout fait bonne figure à sa première sortie avec l’OM qui jouait contre Toulouse (3-2.) Qu’est-il arrivé à ce lion que certains entraîneurs de grands club ont qualifié de « diable de la pelouse ? »
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