Le sujet ne date pas d’hier, il a été trimbalé dans les couloirs du ministère de l’enseignement supérieur pendant des années, et a fait coulé beaucoup d’encre ; et pourtant, on continue de l’aborder et de le considérer sérieusement.
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aujourdhui.ma
Selon plusieurs médias, le Maroc s’apprête à adopter une nouvelle réforme de l’enseignement supérieur, qui vise à remédier aux nombreux problèmes d’un système qui a montré ses limites. La privatisation de l’enseignement, étant une manière parmi d’autres d’aboutir aux objectifs tracés, prendra la forme de frais d’inscriptions imposés surtout aux étudiants issus de familles aisées.
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Pour l’instant, les études primaires et secondaires ne sont pas concernées par cette décision. Toutefois, ceci ne suffit pas pour calmer les opposants de cette nouvelle réforme qui jugent le système éducatif inapte et défaillant.
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