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Le tribunal de première instance d’Essaouira a condamné à quatre mois de prison avec sursis une ex-conseillère pour avoir harcelé sexuellement un homme via WhatsApp. L’affaire a éclaté en mars dernier, suite à la plainte déposée par la victime.
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Selon le quotidien Assabah, le plaignant explique qu’après avoir pris son numéro chez sa femme, l’ex-élue a commencé à lui envoyer, via WhatsApp, des messages et des vidéos à connotation sexuelle, tout en lui téléphonant à des heures tardives de la nuit.
L’homme confie avoir demandé plusieurs fois à l’accusée de cesser de le harceler, au risque de la poursuivre en justice, mais elle a continué son cyberharcèlement sans se soucier des conséquences. C’est ainsi que la victime a décidé de porter plainte avec comme preuves, les enregistrements audio et les messages écrits.
Convoquée pour répondre des faits qui lui sont reprochés, la mise en cause a essayé de nier les faits en mettant tout sur le dos de son fils handicapé. Mais le président l’a confrontée aux messages et aux enregistrements, ainsi qu’à l’incapacité de son fils de se servir du portable.
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