8 mars, journée internationale de la femme, l’icône d’une génération épanouie, l’emblème de la force malgré sa vulnérabilité, le symbole de la persévérance et la charpente nécessaire à la famille. Ces paramètres font d’elle l’être incontournable à qui on fait appel à chaque moment difficile de la vie.
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Pour seulement cela, et ô combien c’est important, on désigne du doigt la monstrueuse machine du marketing, ce monde des affaires où la femme est considérée comme un outil, une plus-value. Triste constat où le gain pousse à l’immoralité. On fait appel à elle soit pour vendre mieux soit comme moyen de diversion durant les grandes négociations. Très sollicitées pour la pub, certaines, croyant que c’est une faveur qu’on lui propose, se retrouvent affichées à côté du produit « X « .
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Aujourd’hui comme hier, l’appel est lancé à tous ces prédateurs beaux parleurs, ils se reconnaissent, de se ressaisir et d’arrêter les manigances. D’arrêter de mettre la femme sous le rouleau compresseur de leur entreprise. La femme est vivante 365 jours par an pas seulement le 8 mars. Ne la remerciez pas uniquement ce jour. Elle est allergique aux roses mensongères, surtout ne promettez rien, elle a compris le baratin.
Il faut mettre fin aux balivernes messieurs les flibustiers. Vous qui êtes à la tête de cette entreprise voyez en la femme votre mère ou votre soeur et non pas comme un maillon de votre engrenage de productivité.
Saluons la femme et ce 8 mars et chaque jour. Il est indigne de se taire face à toutes les injustices auxquelles elles sont soumises et les principaux accusés sont en premier lieu les employeurs et les détenteurs des vannes de la finance. En attendant des jours meilleurs, souhaitons du courage et de l’estime ainsi que le respect à la femme du monde. Oui du respect car nous souhaitons ne plus la voir en pub sur le capot d’une berline ou exhibant une marque de X.
Bonne fête mesdames, le monde serait bien triste sans vous.
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