Dans la matinée d’hier, la Russie avait annoncé avoir développé le « premier » vaccin contre le coronavirus. Malgré cette bonne nouvelle qui a secoué les pays du monde entier, le nombre de cas contaminés continue de grimper…
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Face à une deuxième vague de contamination au Maroc, le ministre de la Santé a décidé de prendre une nouvelle décision: ce mardi, le ministre a annoncé que des centres de santé de référence seront mis à disposition dans les différents quartiers pour accueillir les cas suspects de la Covid-19.
Dans un webinaire organisé par la Société marocaine des sciences médicales (SMSM) intitulé « Situation épidémiologique Covid-19 préoccupante: La riposte », Ait taleb donne plus d’informations sur les centes précédemment cités: ces derniers seront déployés dans les différents quartiers en vue d’accueillir les cas suspects de la Covid-19 qui leur seront transférés par les médecins des secteurs privé, public et autres, ou par des pharmacies situées au niveau de chaque quartier.
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Une opération qui, selon ses dires, cherche à augmenter le nombre des espaces de dépistage pour une prise en charge urgente des patients. Avant d’ajouter que les cas asymptomatiques peuvent être traités à leur domicile et ce, en coordination avec les représentants de l’administration territoriale.
Du côté des entreprises, le secrétaire général du ministère du Travail et de l’insertion professionnelle, Noureddine Benkhalil, a indiqué que depuis l’apparition des premiers cas de l’épidémie, le ministère a élaboré des guides afin de permettre aux entreprises de prendre les mesures préventives et a mobilisé l’ensemble des inspecteurs du travail qui se sont chargés d’un rôle de sensibilisation, d’orientation et de contrôle.
Une insuffisance au niveau des outils utilisés pour s’assurer de la non-contamination des salariés par le virus à leur entrée a été constatée, s’ajoute à cela un manque de sensibilisation de quelques employeurs et salariés de la gravité de la situation, une non-détection du virus à l’entrée dans l’entreprise et une insuffisance au niveau des comités de contrôle et du nombre des inspecteurs du travail.
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