SOS Douars… un SOS pour venir en aide aux femmes dans les villages marocains enclavés.
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L’association a été créé en 2014, après les terribles inondations qui ont ravagé bon nombre de villages enclavés dans la région de Souss Massa Draa.
Des habitations ont été détruites, des familles ont perdu tout les biens qu’elles possédaient… les dégâts de cette catastrophe naturelle ont laissé des traces indélébiles sur ces villages et sur la vie des habitants.
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Les villageois ont été privés d’électricité et reclus durant plusieurs semaines à cause des infrastructures délabrées, telles que les routes et les écoles.
Des actions d’urgence étaient plus que nécessaires
Heureusement, la générosité et la bienveillance d’un groupe de jeunes marocains, membres de l’association SOS Douars ont permis à ces villageois laissés pour compte, de retrouver leur train de vie.
À l’origine de cette initiative, Nadia Oubaïdah, une jeune franco-marocaine plus motivée que jamais à changer les choses. À elle seule, avec le courage de 10 hommes, elle s’est donnée pour mission de développer son village ainsi que les douars avoisinants de Tninne Akddim.
Le groupe de bénévoles a participé à la reconstruction de maisons par la collecte de ciments et la recherche de dons.
Les réseaux sociaux, vecteurs de solidarité
Un groupe de discussion s’est formé via les réseaux sociaux pour sensibiliser quant à la situation de ces villageois et pour mobiliser la société civile… car un don, même le plus petit, a un impact incroyable sur la vie des personnes en besoin.
Aujourd’hui, l’association en pleine expansion et promise à un grand avenir s’est engagée sérieusement dans un projet de développement durable.
Pas uniquement une association, mais un véritable projet de vie
Cet élan de solidarité ne cesse de croître et de réaliser des miracles dans les régions les plus enclavées comme les douars berbères enfouis au milieu des forêts d’arganiers d’Aït Baamrane.
L’initiative menée par Nadia Oubaïdah vise à favoriser l’emploi, la formation et la mise en place de projets sociaux-culturels.
Elle permettra également à long terme l’émancipation des femmes et le développement du tourisme solidaire.
SOS douars s’affirme de jour en jour, au vu de réalisations concrètes et de plus en plus palpables
À titre d’exemples, l’association a permis la construction d’un forage et l’installation d’une pompe, ainsi que la plantation d’arbres. De même, un atelier de concassage de l’argan et un atelier de couture ont été créés.
SOS Douars encourage également les femmes à vendre les produits du terroir fait maison : miel, pains et huile d’argan…
L’association vise toujours plus haut et voit toujours plus loin
Aujourd’hui, l’initiative ambitionne d’élever le rôle des femmes au sein des villages. En ce, en les insérant professionnellement et en les encourageant à s’émanciper.
Pour atteindre ses objectifs, l’association est désormais dans une phase déterminante, et a besoin de sources de financement supplémentaires.
Les femmes dans ces villages sont dotées d’une persévérance, d’une rigueur et d’une détermination sans bornes.
Force d’esprit, et force de caractère
Pour permettre à ces femmes entrepreneures sociales de continuer à travailler dans les meilleures conditions, une cagnotte leetchi a été mise en place.
Si vous voulez faire votre bonne action du jour, c’est le moment
Pour aider à développer des activités génératrices de revenus pour les femmes berbères de la région d’Ait Baamrane, vous n’avez qu’à cliquer.
Aider les femmes d’aujourd’hui, pour assurer un avenir meilleur à celles de demain
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