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Le récent dénouement du procès impliquant le renommé chirurgien plasticien Hassan Tazi et plusieurs autres individus liés à l’affaire de la Clinique « Chifa » a engendré une onde de choc dans l’opinion publique. La Chambre criminelle de première instance près la Cour d’appel de Casablanca a rendu son jugement. Une sentence de trois ans de prison pour le chirurgien, avec deux années déjà purgées. Ce verdict a suscité un débat national et international animé.
La libération du Dr Hassan Tazi de la prison d’Oukacha à Ain Sebaa vendredi soir a été un événement très médiatisé. Des journalistes et des caméras étaient présents pour immortaliser ce moment, soulignant l’intérêt intense du public pour cette affaire.
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Alors que le chirurgien sortait de prison, entouré de son fils et de son avocat, les émotions étaient palpables. Certains ont exprimé leur soutien et leur soulagement. Ils considéraient sa libération comme une forme de rédemption. Tandis que d’autres étaient sceptiques quant à l’équité de ce dénouement. Cette libération marque le début d’un nouveau chapitre dans cette affaire complexe. Un flot de questions et de réflexions sur les ramifications de ce verdict reste en suspend.
Outre le chirurgien, d’autres personnes impliquées ont également été jugées et condamnées. Mounia Benchekroun, l’épouse de Dr Tazi, a été condamnée à quatre ans de prison, tandis que son frère, Abderrazzak Tazi, a écopé de cinq ans ferme. Zineb Benzakour, se présentant comme une « bienfaitrice », a également été condamnée à cinq ans de prison, tandis que Saïda A., responsable du service financier, a écopé de quatre ans. Amina F. et Fatima H. ont également reçu des peines de quatre et trois ans de prison respectivement.
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